Les vues d’ensemble permettent de transcrire l’ambiance et l’impression générale que l’on ressent devant cette oeuvre. Pour apprécier aussi les détails je propose dans la galerie qui suit quelques gros plans sur des parties des vitraux.
Conclusion :
« L’iconographie des vitraux de Jean Cocteau, par le choix des formes, par l’expression de certains symboles sacrés, par les références aux mythes, par la présence d’une végétation débordante, exubérante, peut nous déconcerter, tant elle est différente, il est vrai, de celle d’autres vitraux messins tout aussi contemporains. Il faut s’imposer un autre regard afin de découvrir ce qui échappe, tenter de saisir l’insolite, l’inattendu, tenter de s’investir dans les amalgames de formes, les jeux de formes que l’on n’attendait pas.
Chaque vitrail offre sa part de mystère et de rêve, de réel et d’imaginaire ; tout thème, jamais entièrement résolu, jamais – et tant mieux – tout à fait univalent, permet à chacun de faire appel à son imaginaire, à sa sensibilité et pourquoi pas à son admiration.
C’est la création toute entière que le poète a voulu envisager, que l’artiste a voulu signifier. »
En savoir plus…
- la monographie de Marie Antoinette Kuhn, à laquelle j’ai emprunté la conclusion précédente